L’Alliance du Commerce publie une étude juridique sur les enjeux de la vente de vêtements de seconde main afin d’accompagner les entreprises dans leur stratégie de développement durable et de diversification d’activité.
Revendre les vêtements que l’on ne porte plus et en acheter d’autres
d’occasion est complètement entré dans les usages des Français (+ de 15
millions d’acheteurs en 2020) et la seconde main a le vent en poupe !
Consommation éco-responsable, prix attractifs, etc. : les motivations des acheteurs de seconde main sont nombreuses.
Du côté des entreprises, la vente de vêtements de seconde main
participe à leur politique de développement durable et RSE, et
représente une opportunité à saisir.
La seconde main leur permet par ailleurs de fidéliser leur clientèle, notamment à travers des actions de « drive-to-store » qui boostent les points de ventes physiques.
Ainsi, l’Alliance du Commerce a souhaité, avec cette étude, réalisée avec l’appui du cabinet FIDAL et le soutien du DEFI, apporter aux enseignes tous les éclairages essentiels à l’intégration de la seconde main à leur ‘business model’.
Pour réussir ce nouveau défi, il est nécessaire de connaître de
nombreuses règles et obligations juridiques complexes, qui diffèrent
selon le mode d’exploitation choisi par l’enseigne : modèle B2C (‘business to consumer’) ou C2C (‘consumer to consumer’), ce dernier se déployant via des plateformes d’intermédiation.